• Quelle est votre implication dans le corps médical, et en particulier dans les centres dentaires ?

 

Pour ma part, j’interviens essentiellement en amont des projets de centres de santé médico-dentaire ou purement dentaires, plus précisément, dans le cadre du montage des structures administratives et juridiques et de la déclaration obligatoire au niveau des délégations régionales du Ministère de la Santé, plus communément appelé « Dossier ARS ».

L’intérêt d’intervenir en amont du projet me permet aussi d’avoir une vue macro de l’ensemble des projets en cours, quasiment impossibles à retrouver sur le web tant que les structures ne sont pas établies officiellement, évitant ainsi à certains projets une concurrence frontale qu’ils n’auraient souvent pu anticiper par eux-mêmes.

Pour conclure, je préciserais que j’interviens aussi sur de nombreux dossiers établis sans passer par mes services ; les porteurs de projets me contactent alors plus tard dans leur développement afin de leur apporter un certain nombre d’outils de gestion et d’optimisation tels que les subventions ou des solutions de financement pour les reste à charge des patients, par exemple …

 

  • Pensez-vous que les médecins/dentistes ont pris conscience de l’importance du Marcom ?

 

Le nombre d’ouvertures de structures médico-dentaires de type centres de santé à Paris, en banlieue mais aussi en Province (grandes métropoles ou villes de moindre importance) fait que mécaniquement, les investisseurs essayent de se distinguer du lot avec des politiques et des stratégies pro-actives sur le sujet du marketing et de la communication, à travers le web mais pas seulement.

Aussi, l’apport de solutions comme celles proposées par Marcom City, en conformité systématique avec les ordres et tutelles concernés, permettent de s’engager sur des solutions professionnelles efficaces, pratiques sans la problématique liée à la déontologie.

Ainsi, de nombreuses structures ont commencé à utiliser les outils Marcom City avec des effets tangibles sur l’activité.

 

  • Est-ce que les nouveaux modes de prise de rendez-vous (ex : doctolib) ont apporté un changement dans la gestion de l’agenda ?

 

Les nouveaux modes de prise de rv de type Doctolib mais aussi mondocteur ou clickrv ont apporté des outils de gestion de l’agenda patient beaucoup plus professionnels aux gestionnaires d’accueil de ces structures afin d’en permettre l’optimisation.

Les plannings étaient quelque peu jusqu’alors les parents pauvres des logiciels dentaires avec des éditeurs davantage concernés par les problématiques Tiers-Payant ou Scan des éléments du dossier patient que par le planning des RV, intégré à l’outil

La meilleure preuve est qu’ils l’ont très rapidement substitué à l’ancien planning maison au point de ne plus souhaiter à l’ancien système dans la très majorité des centres de santé.

 

 

 

 

 

  • Quelles suggestions pouvez-vous apportez aux responsables marketing des centres médicaux et dentaires ?

 

La première remarque que je puisse faire sur cette question est que la quasi-totalité des centres de santé n’ont pas, eu égard à la taille de l’activité et au secteur, mais aussi pour des raisons économiques et financières de Directeur Marketing.

Cela ne veut pas dire, comme je l’ai rappelé un peu plus haut, que cette fonction support doit être mise de côté ou négligée, au sein des centres de santé.

La communication et le marketing sont des atouts véritablement essentiels à la bonne tenue et à l’équilibre des comptes d’une structure de ce type.

Cela passe par le web mais aussi par l’enseigne, les cartes de visite, la signalétique et bien d’autres thèmes encore qu’il serait fort dommage de négliger tant en amont du projet que pendant l’exploitation de la structure.

Aussi, je recommande vivement de passer par une structure professionnelle et expérimentée afin de prendre le sujet par le bon bout et développer une vraie stratégie, efficace et pérenne.

 

Dentyssimo
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